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Dans une réalité où lycanthropes, vampires, et autres créatures renvoient les mortels au rang de proie, il ne reste à ces derniers que la sorcellerie comme ultime recours. Elle permet de flirter avec ce monde sans lui appartenir. Mais la damnation qu’elle exige ne fait-elle pas de ses utilisateurs quelque chose d’un peu moins humain ?
· Points de repères ·
Départ :
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Sensibles : Des humains qui ont développé une certaine réceptivité en côtoyant à leur insu des personnes ou lieux surnaturels, chargés en énergies.
Il font des rêves prémonitoires, obtienne des résultats bluffants en tirant les cartes, ressentent l’énergie qui circule dans les minéraux, les végétaux et de l’eau et y puisent de quoi se ressourcer.
Innés : Il arrive que des humains naissent avec des « dons », des facilités ou des capacités naturelles à se connecter aux énergies fondamentales qui régissent notre monde. Ils les les sentent circuler, s’arrêter à certains endroits en les éviter. Souvent, ils arrivent à percevoir/entrer en contact avec les défunts qui hantent encore la Terre. Les plus sensibles sont capables de projeter leur conscience et agir activement dans des espaces parallèles à notre réalité (rêves, coma… et dans des cas exceptionnels, dans l’Autre Lieu)
Un inné peut développer une pratique de magie de terre et de sang sans passer par une initiation, bien qu’avoir été initié facilite l’apprentissage puisqu’un coven transmet ses savoirs à ceux qu’ils initient.
Initiés : Les sensibles particulièrement prédisposés peuvent être initiés, ainsi que ceux disposant de dons innés. Un individu seul ne peut pas initier quelqu’un, il faut nécessairement solliciter un ensemble d’individus, souvent un coven, qui est alors responsable de l’initié et qui par conséquent imposera ses conditions. Le coven ayant initié peut retirer le don qu’il a attribué. Pour initier ou retirer, il faut cependant que le coven soit suffisamment fort (cela peut être augmenté grâce à des membres étant des particularités, par des sites spécifiques ou des dispositions astrales particulières).
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Cas particuliers :
Pacte : il est possible à des humains d’obtenir du pouvoir sans avoir aucunes prédispositions.
Sous des circonstances exceptionnelles et variables, il est possible d’entrer en contact avec ce que certains appellent des entités ou énergies, des forces élémentaires qui régissent notre monde mais qui en sont maintenues en dehors. La contrepartie demandée est imprévisible.
Un sorcier ayant fait un pacte ne peut pas initier car il s’agit d’une magie qui n’a pas la même vibration que les autres.
C’est une forme aliénante car elle ne se connecte pas au monde puisqu’elle n’en est pas originaire ; l’utilisateur ne peut donc pas puiser de quoi se ressourcer dans notre monde.
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Thérianthrope : Certains rituels permettent de doter des humains de capacités particulières. Sous forme de don ou de malédiction, la thérianthropie peut être ainsi attribuée à des individus qui n'ont aucune prédisposition particulière.
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Natures de magies :
Les Sensibles : la plupart des sensibles le restent faute de développer des dons suffisants pour être initié ou faute d’être repéré par un coven.
Il font des rêves prémonitoires, obtienne des résultats bluffants en tirant les cartes, ressentent l’énergie qui circule dans les minéraux, les végétaux et de l’eau et y puisent de quoi se ressourcer.
Médium : On ne peut pas devenir médium, on nait avec le don. C’est l’appellation de ceux qui ont une sensibilité innée et qui décident de se consacrer uniquement à leur réceptivité. C’est la forme de magie la plus saine. Même si elle peut fatiguer son utilisateur, ce dernier ne développe pas de conséquences négatives à son utilisation. Ce qui ne protège cependant pas des séquelles psychologiques générées par les choses qu’elle permet de percevoir.
Un médium peut développer une autre forme de magie sans être initié car il ressentira d’instinct les voies qui s’offrent à lui. Encore une fois, été initié par un coven, ou au moins accompagné d’un sorcier initié, accélère grandement l’apprentissage.
Magie dite de terre : S’appuyant sur l’utilisation d’éléments minéraux et végétaux. Elle permet d’agir sur le monde physique. Il faut généralement être à proximité des éléments concernés même si un coven peut réussir à étendre son champ d’action. Les utilisateurs doivent réaliser des actions de purifications pour décharger les énergies sollicitées.
Magie dite de sang : Plus puissante que la magie de terre car elle est capable d’agir à un niveau immatériel. Comme son nom l’indique elle requière des matières organiques. Le sang et autres substances peuvent être collectées sur un être en vie. La chaire nécessite la mort du sacrifice durant le rituel. Les os doivent être récupérés sur un corps mort.
Certains de ces sorciers la pratique dans le but d’atteindre l’Autre Lieu dans l’espoir acquérir des pouvoirs exceptionnels ou de ramener un défunt.
Dans leur quête de pouvoir, ceux qui la pratiquent rallient généralement un culte qui prend le dessus sur leur coven.